Réponse de Laurent Bataille à la sollicitation par la lettre ouverte du 31 mars 2023 de l’intersyndicale pour obtenir un complément d’intéressement
Extraits de la communication de l’intersyndicale (à consulter ci-dessous)
« [..]D’après la direction, « Verser un complément d’Intéressement au titre de 2022, viendrait dégrader la performance 2023, car cela n’a pas été provisionné ».
La direction ouvre malgré tout quelques portes :
– Pour la part Groupe 2023 :
– ajuster au mieux les objectifs internes avec ceux communiqués aux marchés financiers. En effet, ce décalage a toujours été dénoncé par les organisations syndicales, car plutôt que de challenger les salariés, il les démotive.
Le message est entendu.
– De même, une meilleure proposition sera faite sur les bornes mini et maxi autour de la cible.
Par contre, il n’est pas possible de modifier l’accord triennal avant 2024, alors que le calcul actuel de la part Groupe est pénalisant par le coté multiplicateur de deux facteurs (SSI x EBITA).
– Pour le prochain accord Intéressement 2024-2026, Laurent Bataille s’engage à revoir l’assiette de calcul de la part Groupe, à savoir, ajouter à l’EbitA un indicateur par exemple sur la croissance.
– Avec un maximum de 10% d’Intéressement Schneider n’est pas au niveau des grands groupes Français. La Direction s’engage à étudier une augmentation de ce maximum […] »
L’interpellation de l’intersyndicale est disponible en PDF dans le bandeau gris.